Question:
Est-il possible de lever le doute ?
2009-04-27 03:30:36 UTC
Bonjour chers amis et ennemis,

J'aimerai vous narrer une anecdote récente qui m'a troublé au plus haut point. J'étais en vadrouille (je suis un véritable baroudeur) dans une capitale européenne francophone (Dakar ou Bruxelles, je ne m'en souviens plus trop). Je cherchais depuis quelques heures de quoi me sustanter en cette fin de journée épuisante quand j'aperçus (avec un seul P) une taverne munichoise. Mon sang ne fit qu'un tour. Mon amour pour la fine gastronomie d'outre-rhin m'a guidé presque aveuglément vers cette établissement d'apparence teutonne.

J'entre. Une belle jeune femme en costume bavarois, plume sur le chapeau, m'invite courtoisement à m'asseoir à une table en poussant quelques yogolo hihou qui me comblait de joie, nostalgie d'un voyage tyrolien de ma prime jeunesse. Après avoir pris en guise d'apéritifs une choppe d'un litre de bière et 3 petits verres de Schnaps, je pris commande de quelques cochonnailles et saucisseries, spécialités très appréciées vous en conviendrez. La serveuse, curieusement, me proposa gentiment pour accompagner mes plats, sa cuisse de bergère. J'apprécie, en fin oenologue, ce rosé de table, mais n'ayant jamais goûté à la cuisse de bergère allemande, ce fut avec une certaine appréhension que j'acquiessas à la proposition.

Pendant tout le repas, je me suis délecté des mets porcins, mais sans boire une seule goutte d'aucun liquide, la commande ayant certainement fait l'objet d'un oubli par cette déesse wisigoth. Mais, l'effet de l'apéro commençant à se faire sentir, et à la diffusion de la Loreleï, hymne populaire germanique, je me mis à danser sur ma table, remontant mon pantalon pour imiter le short tyrolien, yogolant à qui mieux mieux, n'égalant pas pour autant mon hôtesse.

Cette dernière fut quand même épatée par ma prestation et me proposa à nouveau sa cuisse de bergère. Je lui répondis qu'elle me l'avait déjà proposé et que j'exigeai qu'elle me sois servi sur le champ. Elle me choppa par la manche, m'entraina dans une pièce isolée, et après m'avoir entièrement dévétu, en fit de même et là, horreur, la bergère était un berger allemand.

Croyez-moi, je ne suis pas zoophile, c'est donc avec beaucoup de dégoût que j'ai été victime de ce scélérat. Qu'auriez-vous fait à ma place ?
Huit réponses:
2009-04-27 03:39:50 UTC
Faire ce que nos aïeux ont toujours fait : quand un Allemand veut pénétrer en force par chez nous, toujours appeler un américain à la rescousse.
2009-04-27 04:14:05 UTC
Montez un club avec Stephanus, ou Troufflard, je ne sais plus lequel des deux a eu une expérience similaire ce week-end !!!

Vous pourrez l'intituler "touche pas à mon Zob" !
2009-04-27 06:01:14 UTC
Question très longue, mais avec contenu quasi-inexistant, et avec un avatar manifestement pas hétéro.



Allez mon brave, arrêtez de nous prendre pour des idiots, et avouez nous que vous êtes Stephanus.
2009-04-27 06:59:44 UTC
Je ne suis pas loin de partager l'opinion de cette chère Sandrina concernant votre avatar. Il est carrément pourritte !
dame Aty de la Glandouille rit Hinoranle
2009-04-27 03:44:46 UTC
eh bien avant de lever le doute...........vous eussiez du éviter de lever le coude de manière si prononcée ce qui vous aurait évité de vous retrouver dans cette situation qui vous coute et de vous avoir fait croiser la route de ce berger allemand et qu'il ne vous foute en un posture un peu floute!!

et pourtant vous ne semblez pas "prout-prout" mon ptit loute!!

allez le plus dur est passé !! next time soyez plus cire cons pect
2009-04-27 05:01:13 UTC
tu veux que je te dise!! t'aurais mieux fait de pas lever ton fute!! voila tout et de penser avec ta tête plutôt qu'avec ta b****!! et maintenant c'est toi qui l'a eu DTC!! c'est le cas de le dire!!
Kyllian
2009-04-27 08:24:25 UTC
Votre mésaventure n'est pas sans rappeler celle du petit Chaperon Rouge, un conte à l'origine pour enfants, mais qui contient des thèmes ayant trait à la sexualité, à la violence et au cannibalisme.

Ainsi fûtes vous victime, en partie consentante, je présume, de la vindicte teutonne!

Vous auriez du, comme la gamine pleine de vitamines, appeler le chasseur qui passait par la avec son gros fusil.

Il aurait sauvé la pauvre bête que vous étiez en train de sodominimiser!

Cette morale vaut bien une leçon, sans doute.

Et bien chantez maintenant.
2009-04-27 05:10:43 UTC
c'est C** hein?


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